Construisons ensemble les projets de nouvelles lignes de transport !
Concertation préalable
Prévoir des aménagements pour les modes doux en station et dans le matériel roulant
- Les aménagements, notamment cyclables, doivent être sécurisés pour favoriser le développement intermodal et augmenter la zone de chalandise du tramway : au minimum des arceaux vélos à chaque station, et des abris vélos sécurisés dans les stations les plus fréquentées (et au moins à une station sur deux). Les nouveaux abris devront permettre l'accueil des différents modes, avec par exemple des places dédiées "trottinettes" et des places dédiées "vélo cargos".
Les trams actuels peuvent embarquer 2 vélos (1 à chaque extrémité). Cette possibilité disparaît de fait en période de pointe: impossible de monter voire de descendre. De plus, elle n'est absolument pas adaptée à une intermodalité "familiale". Une famille (par exemple 3 ou 4 personnes) devrait pouvoir prendre la même rame et monter dans le même wagon. Le futur matériel doit prévoir, et garantir, un embarquement vélo suffisant au minimum le week-end, le mercredi et tous les jours hors heures de pointe.
Cette question a fait l'objet d'une réponse :
Bonjour,
Le projet favorisera l’intermodalité et le rabattement des modes actifs vers les nouvelles lignes de tramway et de BHNS en aménageant du stationnement et/ou des abris vélos sécurisés à proximité des nouvelles stations.
Concernant l’emport de vélos dans le tramway ou le BHNS, le sujet n’est pas acté à ce stade. Le matériel roulant n’est pas défini et cette problématique devra faire l’objet d’études approfondies compte tenu de ses impacts sur l’infrastructure et la définition du matériel. Sur le réseau actuel, les vélos sont acceptés dans le tramway à raison d’un vélo par extrémité de rame. Autant il est justifié de faciliter et d’organiser l’embarquement des vélos dans les transports inter-urbains, autant la complémentarité en milieu urbain passe plutôt par du rabattement (arceaux et/ou abris à proximité des stations), pour ne pas pénaliser la vitesse commerciale des transports en raison des temps d’embarquement de trop nombreux cycles. Dans les véhicules les plus courts, les conditions d’emport peuvent être inadaptées au confort et à l’accessibilité de tous, d’où l’interdiction actuelle dans les bus.
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