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Concertation préalable

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Changements sur "Faire réellement face aux enjeux climatiques et de pollution, contribution du groupe « Lambersart sociale, Ecologique et Solidaire »"

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+{"fr"=>"Faire réellement face aux enjeux climatiques et de pollution, contribution du groupe « Lambersart sociale, Ecologique et Solidaire »"}

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+["CONTRIBUTION DES ELUS DU GROUPE « Lambersart sociale, Ecologique et Solidaire » sur le SDIT\n \nLe 28 juin 2019, un schéma de transport a été adopté par la MEL pour un budget de plus de 2,6 milliards destinés, comme le précise la communication de l’époque, à :\n« Faire face aux enjeux climatiques et de pollution ».\n \nSont concernés par ce schéma la création de 50 km de tramways et 25 km de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS), 25 communes et 1 million de métropolitains.\nL’actuelle consultation des habitants a démarré le 21 février et s’achèvera le 4 avril.\n \nComme le précise le site de la MEL, cette consultation a pour objectifs de donner accès aux habitants, usagers et à l'ensemble des acteurs concernés, à une information transparente sur le projet et d’organiser le temps d’écoute nécessaire pour recueillir d'éventuelles observations ou demandes permettant d'enrichir l'élaboration du projet (concertation sur les objectifs des projets, les tracés et leurs éventuelles variantes…).\n \nOr, quel constat faisons-nous ?\n \nAlors que ce schéma a pour objectif de réduire l’empreinte carbone des transports en développant un réseau de transports publics plus étoffé, nous constatons que Lambersart a totalement été ignoré par ce projet !\n \nAlors que notre ville est traversée matin et soir par plusieurs dizaines de milliers de voitures, que l’avenue de l’Hippodrome s’en trouve être l’un des axes le plus pollué de la métropole, que ces engorgements sur les axes stratégiques poussent les automobilistes à emprunter des itinéraires bis au cœurs de nos quartiers comme la rue de Lille ou la rue Becquart – ce qui occasionne l’exaspération des riverains qui a juste titre se plaignent d’une insécurité routière bien réelle, etc…, nous faisons le constat malheureux que les itinéraires proposés pour ce SDIT ignore Lambersart, 12ème ville du Nord, déjà peu dotée en transports en commun !\n \nNous affirmons ici d’emblée que les options présentées ne sont pas acceptables !\n \nNous proposons à la MEL de repenser les parties de ce SDIT pouvant concerner Lambersart afin de :\n \n•\tProposer des solutions de transports capables de mieux connecter la partie Est de Lambersart à Lille, de mieux relier Lambersart aux communes proches situées au nord et à l’Est (Saint-André, La Madeleine, Wambrechies, Quesnoy sur Deûle/Comines) et à l’Ouest (Lomme/Haubourdin/Santes) ;\n•\tDe permettre une intermodalité Tramway ou HBNS avec le métro à Pont Supérieur et envisager d’agir auprès de la Région pour que la ligne de train soit réactivée à la gare de Lomme ;\n•\tDe permettre comme cela a pu être fait à 4 Cantons (Villeneuve d’Ascq) que des solutions de parkings aux abords Nord Ouest de la métropole soient desservis par le tramway ou un BHNS afin d’offrir aux dizaines de milliers d’automobilistes qui traversent chaque jour Lambersart dans des bouchons infernaux une solution rapide et incitative pour rejoindre Lille en transport en commun (dans l’idéal, il pourrait s’agir d’une liaison amenant à Pont Supérieur).\nEnfin, Lambersart représente un pôle de services compétents pour le reste du Canton en matière d’emploi (Mission Locale), d’Action Sociale (UTPAS). Or, depuis la fermeture de la ligne SNCF, seule la liane permet de relier Comines à Saint André en plus de 30 mn (!) sans réelle correspondance vers le Bourg (ou proche) à Lambersart. Nous pensons donc que la question d’une liaison qui permettrait de désenclaver Quesnoy/Deûle et Comines doit être reposée.\n\nCes trois villes comptent 50 000 habitants aujourd’hui exclus de grands projets structurant les modes de déplacement et de vie pour les cinquante prochaines années à minima.\n \nPour que ce SDIT atteigne ses objectifs initiaux, il doit viser à minima les 2 objectifs opérationnels suivants :\n•\tQu’il permette des solutions de transport aussi rapides et souples que la voiture individuelle ;\n•\tQu’il représente un réel avantage économique pour les usagers et dans ce domaine, seule la gratuité universelle permettra d’y parvenir.\n \nPierre-Yves PIRA et Julien BOISSE\nConseillers Municipaux"]

+["CONTRIBUTION DES ELUS DU GROUPE « Lambersart sociale, Ecologique et Solidaire » sur le SDIT\n \nLe 28 juin 2019, un schéma de transport a été adopté par la MEL pour un budget de plus de 2,6 milliards destinés, comme le précise la communication de l’époque, à :\n« Faire face aux enjeux climatiques et de pollution ».\n \nSont concernés par ce schéma la création de 50 km de tramways et 25 km de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS), 25 communes et 1 million de métropolitains.\nL’actuelle consultation des habitants a démarré le 21 février et s’achèvera le 4 avril.\n \nComme le précise le site de la MEL, cette consultation a pour objectifs de donner accès aux habitants, usagers et à l'ensemble des acteurs concernés, à une information transparente sur le projet et d’organiser le temps d’écoute nécessaire pour recueillir d'éventuelles observations ou demandes permettant d'enrichir l'élaboration du projet (concertation sur les objectifs des projets, les tracés et leurs éventuelles variantes…).\n \nOr, quel constat faisons-nous ?\n \nAlors que ce schéma a pour objectif de réduire l’empreinte carbone des transports en développant un réseau de transports publics plus étoffé, nous constatons que Lambersart a totalement été ignoré par ce projet !\n \nAlors que notre ville est traversée matin et soir par plusieurs dizaines de milliers de voitures, que l’avenue de l’Hippodrome s’en trouve être l’un des axes le plus pollué de la métropole, que ces engorgements sur les axes stratégiques poussent les automobilistes à emprunter des itinéraires bis au cœurs de nos quartiers comme la rue de Lille ou la rue Becquart – ce qui occasionne l’exaspération des riverains qui a juste titre se plaignent d’une insécurité routière bien réelle, etc…, nous faisons le constat malheureux que les itinéraires proposés pour ce SDIT ignore Lambersart, 12ème ville du Nord, déjà peu dotée en transports en commun !\n \nNous affirmons ici d’emblée que les options présentées ne sont pas acceptables !\n \nNous proposons à la MEL de repenser les parties de ce SDIT pouvant concerner Lambersart afin de :\n \n•\tProposer des solutions de transports capables de mieux connecter la partie Est de Lambersart à Lille, de mieux relier Lambersart aux communes proches situées au nord et à l’Est (Saint-André, La Madeleine, Wambrechies, Quesnoy sur Deûle/Comines) et à l’Ouest (Lomme/Haubourdin/Santes) ;\n•\tDe permettre une intermodalité Tramway ou HBNS avec le métro à Pont Supérieur et envisager d’agir auprès de la Région pour que la ligne de train soit réactivée à la gare de Lomme ;\n•\tDe permettre comme cela a pu être fait à 4 Cantons (Villeneuve d’Ascq) que des solutions de parkings aux abords Nord Ouest de la métropole soient desservis par le tramway ou un BHNS afin d’offrir aux dizaines de milliers d’automobilistes qui traversent chaque jour Lambersart dans des bouchons infernaux une solution rapide et incitative pour rejoindre Lille en transport en commun (dans l’idéal, il pourrait s’agir d’une liaison amenant à Pont Supérieur).\nEnfin, Lambersart représente un pôle de services compétents pour le reste du Canton en matière d’emploi (Mission Locale), d’Action Sociale (UTPAS). Or, depuis la fermeture de la ligne SNCF, seule la liane permet de relier Comines à Saint André en plus de 30 mn (!) sans réelle correspondance vers le Bourg (ou proche) à Lambersart. Nous pensons donc que la question d’une liaison qui permettrait de désenclaver Quesnoy/Deûle et Comines doit être reposée.\n\nCes trois villes comptent 50 000 habitants aujourd’hui exclus de grands projets structurant les modes de déplacement et de vie pour les cinquante prochaines années à minima.\n \nPour que ce SDIT atteigne ses objectifs initiaux, il doit viser à minima les 2 objectifs opérationnels suivants :\n•\tQu’il permette des solutions de transport aussi rapides et souples que la voiture individuelle ;\n•\tQu’il représente un réel avantage économique pour les usagers et dans ce domaine, seule la gratuité universelle permettra d’y parvenir.\n \nPierre-Yves PIRA et Julien BOISSE\nConseillers Municipaux"]

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+["CONTRIBUTION DES ELUS DU GROUPE « Lambersart sociale, Ecologique et Solidaire » sur le SDIT\n \nLe 28 juin 2019, un schéma de transport a été adopté par la MEL pour un budget de plus de 2,6 milliards destinés, comme le précise la communication de l’époque, à :\n« Faire face aux enjeux climatiques et de pollution ».\n \nSont concernés par ce schéma la création de 50 km de tramways et 25 km de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS), 25 communes et 1 million de métropolitains.\nL’actuelle consultation des habitants a démarré le 21 février et s’achèvera le 4 avril.\n \nComme le précise le site de la MEL, cette consultation a pour objectifs de donner accès aux habitants, usagers et à l'ensemble des acteurs concernés, à une information transparente sur le projet et d’organiser le temps d’écoute nécessaire pour recueillir d'éventuelles observations ou demandes permettant d'enrichir l'élaboration du projet (concertation sur les objectifs des projets, les tracés et leurs éventuelles variantes…).\n \nOr, quel constat faisons-nous ?\n \nAlors que ce schéma a pour objectif de réduire l’empreinte carbone des transports en développant un réseau de transports publics plus étoffé, nous constatons que Lambersart a totalement été ignoré par ce projet !\n \nAlors que notre ville est traversée matin et soir par plusieurs dizaines de milliers de voitures, que l’avenue de l’Hippodrome s’en trouve être l’un des axes le plus pollué de la métropole, que ces engorgements sur les axes stratégiques poussent les automobilistes à emprunter des itinéraires bis au cœurs de nos quartiers comme la rue de Lille ou la rue Becquart – ce qui occasionne l’exaspération des riverains qui a juste titre se plaignent d’une insécurité routière bien réelle, etc…, nous faisons le constat malheureux que les itinéraires proposés pour ce SDIT ignore Lambersart, 12ème ville du Nord, déjà peu dotée en transports en commun !\n \nNous affirmons ici d’emblée que les options présentées ne sont pas acceptables !\n \nNous proposons à la MEL de repenser les parties de ce SDIT pouvant concerner Lambersart afin de :\n \n•\tProposer des solutions de transports capables de mieux connecter la partie Est de Lambersart à Lille, de mieux relier Lambersart aux communes proches situées au nord et à l’Est (Saint-André, La Madeleine, Wambrechies, Quesnoy sur Deûle/Comines) et à l’Ouest (Lomme/Haubourdin/Santes) ;\n•\tDe permettre une intermodalité Tramway ou HBNS avec le métro à Pont Supérieur et envisager d’agir auprès de la Région pour que la ligne de train soit réactivée à la gare de Lomme ;\n•\tDe permettre comme cela a pu être fait à 4 Cantons (Villeneuve d’Ascq) que des solutions de parkings aux abords Nord Ouest de la métropole soient desservis par le tramway ou un BHNS afin d’offrir aux dizaines de milliers d’automobilistes qui traversent chaque jour Lambersart dans des bouchons infernaux une solution rapide et incitative pour rejoindre Lille en transport en commun (dans l’idéal, il pourrait s’agir d’une liaison amenant à Pont Supérieur).\nEnfin, Lambersart représente un pôle de services compétents pour le reste du Canton en matière d’emploi (Mission Locale), d’Action Sociale (UTPAS). Or, depuis la fermeture de la ligne SNCF, seule la liane permet de relier Comines à Saint André en plus de 30 mn (!) sans réelle correspondance vers le Bourg (ou proche) à Lambersart. Nous pensons donc que la question d’une liaison qui permettrait de désenclaver Quesnoy/Deûle et Comines doit être reposée.\n\nCes trois villes comptent 50 000 habitants aujourd’hui exclus de grands projets structurant les modes de déplacement et de vie pour les cinquante prochaines années à minima.\n \nPour que ce SDIT atteigne ses objectifs initiaux, il doit viser à minima les 2 objectifs opérationnels suivants :\n•\tQu’il permette des solutions de transport aussi rapides et souples que la voiture individuelle ;\n•\tQu’il représente un réel avantage économique pour les usagers et dans ce domaine, seule la gratuité universelle permettra d’y parvenir.\n \nPierre-Yves PIRA et Julien BOISSE\nConseillers Municipaux"]

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+["CONTRIBUTION DES ELUS DU GROUPE « Lambersart sociale, Ecologique et Solidaire » sur le SDIT\n \nLe 28 juin 2019, un schéma de transport a été adopté par la MEL pour un budget de plus de 2,6 milliards destinés, comme le précise la communication de l’époque, à :\n« Faire face aux enjeux climatiques et de pollution ».\n \nSont concernés par ce schéma la création de 50 km de tramways et 25 km de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS), 25 communes et 1 million de métropolitains.\nL’actuelle consultation des habitants a démarré le 21 février et s’achèvera le 4 avril.\n \nComme le précise le site de la MEL, cette consultation a pour objectifs de donner accès aux habitants, usagers et à l'ensemble des acteurs concernés, à une information transparente sur le projet et d’organiser le temps d’écoute nécessaire pour recueillir d'éventuelles observations ou demandes permettant d'enrichir l'élaboration du projet (concertation sur les objectifs des projets, les tracés et leurs éventuelles variantes…).\n \nOr, quel constat faisons-nous ?\n \nAlors que ce schéma a pour objectif de réduire l’empreinte carbone des transports en développant un réseau de transports publics plus étoffé, nous constatons que Lambersart a totalement été ignoré par ce projet !\n \nAlors que notre ville est traversée matin et soir par plusieurs dizaines de milliers de voitures, que l’avenue de l’Hippodrome s’en trouve être l’un des axes le plus pollué de la métropole, que ces engorgements sur les axes stratégiques poussent les automobilistes à emprunter des itinéraires bis au cœurs de nos quartiers comme la rue de Lille ou la rue Becquart – ce qui occasionne l’exaspération des riverains qui a juste titre se plaignent d’une insécurité routière bien réelle, etc…, nous faisons le constat malheureux que les itinéraires proposés pour ce SDIT ignore Lambersart, 12ème ville du Nord, déjà peu dotée en transports en commun !\n \nNous affirmons ici d’emblée que les options présentées ne sont pas acceptables !\n \nNous proposons à la MEL de repenser les parties de ce SDIT pouvant concerner Lambersart afin de :\n \n•\tProposer des solutions de transports capables de mieux connecter la partie Est de Lambersart à Lille, de mieux relier Lambersart aux communes proches situées au nord et à l’Est (Saint-André, La Madeleine, Wambrechies, Quesnoy sur Deûle/Comines) et à l’Ouest (Lomme/Haubourdin/Santes) ;\n•\tDe permettre une intermodalité Tramway ou HBNS avec le métro à Pont Supérieur et envisager d’agir auprès de la Région pour que la ligne de train soit réactivée à la gare de Lomme ;\n•\tDe permettre comme cela a pu être fait à 4 Cantons (Villeneuve d’Ascq) que des solutions de parkings aux abords Nord Ouest de la métropole soient desservis par le tramway ou un BHNS afin d’offrir aux dizaines de milliers d’automobilistes qui traversent chaque jour Lambersart dans des bouchons infernaux une solution rapide et incitative pour rejoindre Lille en transport en commun (dans l’idéal, il pourrait s’agir d’une liaison amenant à Pont Supérieur).\nEnfin, Lambersart représente un pôle de services compétents pour le reste du Canton en matière d’emploi (Mission Locale), d’Action Sociale (UTPAS). Or, depuis la fermeture de la ligne SNCF, seule la liane permet de relier Comines à Saint André en plus de 30 mn (!) sans réelle correspondance vers le Bourg (ou proche) à Lambersart. Nous pensons donc que la question d’une liaison qui permettrait de désenclaver Quesnoy/Deûle et Comines doit être reposée.\n\nCes trois villes comptent 50 000 habitants aujourd’hui exclus de grands projets structurant les modes de déplacement et de vie pour les cinquante prochaines années à minima.\n \nPour que ce SDIT atteigne ses objectifs initiaux, il doit viser à minima les 2 objectifs opérationnels suivants :\n•\tQu’il permette des solutions de transport aussi rapides et souples que la voiture individuelle ;\n•\tQu’il représente un réel avantage économique pour les usagers et dans ce domaine, seule la gratuité universelle permettra d’y parvenir.\n \nPierre-Yves PIRA et Julien BOISSE\nConseillers Municipaux"]

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Auteur de la version

Pierre-Yves Pira

Version créée le 16/03/2022 15:52