Construisons ensemble les projets de nouvelles lignes de transport !
Concertation préalable
Le projet : la liaison Comines Lille
"Développer/conforter une liaison rapide en site propre entre la vallée de la Lys depuis Comines et le cœur lillois à la suite de la suspension de la ligne ferroviaire existante fin 2019 ; étude en cours par la Région (compétence régionale) ; questionnement sur la compétence in fine et la maîtrise d’ouvrage ; étude à solliciter quant à un prolongement jusqu’à Comines-Belgique
A construire en complémentarité avec la ligne Lille-Wambrechies identifiée en mode lourd sur la partie Sud la plus dense de l’itinéraire"
Remarques et Questions :
Si la ligne ferroviaire est bien une compétence région, ce n'est pas le cas des autres modes de transport, la preuve en est Wambrechies desservie par le ligne ferroviaire, sera desservie par le tram.
Quelles sont les résultat de cette étude ?
Quelles sont aujourd'hui et à l'avenir les solutions proposées pour les habitants de Comines, Deulemont et Quesnoy sur Deule pour leur permettre d'atteindre le Centre de Lille en 30 minutes, soit le temps mis par le train ? (la fréquence de la liane ne répond pas au problématique de temps de trajet.....)
Le tronçonnage des projets et des modes de transport n'est-il pas de nature à être contreproductif en étant trop éloigné des attentes des usagers et ainsi ne pas permettre l'adhésion de nouveaux usagers ?
Cette question a fait l'objet d'une réponse :
Bonjour,
La ligne Lille - Comines relève de la Région au titre de sa compétence ferroviaire.
Cette ligne n’est plus exploitée en train depuis décembre 2019 en raison de la vétusté de l’infrastructure, la liaison est désormais assurée en autocars.
La desserte ferroviaire souffrait d’une offre très faible (7 services/jour fin 2019) et d’une concurrence de la desserte avec la Liane 90 (1 bus toutes les 10 à 20 minutes en heures de pointe).
Le devenir de cette ligne intéresse tout particulièrement la MEL qui a sollicité la Région pour définir un projet commun sur cette ligne et son emprise, préciser son financement et son organisation, dans la suite des études d'opportunité menées en 2018/2019. Un mode routier semble dans tous les cas le plus adapté aux besoins aux regards des fréquentations (300 voyages/jour en 2019 et un prévisionnel qui ne dépasse pas les 3000 voyages/jour, loin des seuils minimums des 35 000 voy/jour pour envisager l'opportunité d'un mode tramway).
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